mercredi 25 avril 2012

Gloria Victis


 Il y a dans l'air, une odeur, une effluve putride et malodorante mais aussi désagréable que soit cette émanation, j'éprouve un certain calme, une sérénité violente, l'harmonie de tout son être avant un combat, le bien être d'être soit même, d'être blanc et fière de l'être. Ce n'est pas un sentiment de toute puissance, non, c'est bien plus, c'est un sentiment animal, humain et divin...
N'avez vous jamais eu l'impression d'être seul ? Seul à savoir, seul à être éveillé...
Dans le métro, dans un bus, dans un parc, sur le marché, dans un magasin... ce sentiment de solitude désagréable accompagné d'un bien être immense, parce que nous savons qui nous sommes...
Nous sommes des loups entourés de brebis... nous sommes la lumière déchirant l'obscurité... nous sommes les derniers protecteurs de notre race... en nous, se cache le dernier espoir de la race blanche.

Notre génération sait que nous sommes les derniers hommes blancs conscients et surtout capables, capable de pouvoir changer la donne, capable de pouvoir allumer une étincelle d'espoir et se la voir changer en une victoire étincelante... et si nous échouons, par honneur, par respect, par fidélité, par haine, par désespoir, par colère, par tristesse, par vengeance, par amour pour ce que nous étions et ce que nous aurions pût être, nous offrirons au monde, le baroud d'honneur de la race blanche d'une violence telle, qu'elle restera marquer dans la mémoire de nos ennemis pour des millénaires, l'homme blanc aura été vaincu mais dans sa chute, il aura gravé par son sang, sa marque immortelle dans l'esprit collectif humain, oseront ils encore prononcé le nom de nos héros qu'un frisson glacial leur traversera l'échine de part en part.

Y en à Un qui doit bien se marrer sur son trône et attendre avec impatience la confrontation...

Brandissez notre étendard, laissez dormir ceux qui ne savent pas et que vienne l'aube,
Nous n'avons besoin que d'une seule journée, une seule journée pour être des animaux,
Nos âmes seront dans la nature, ce jour-là, nous prendrons tout jusqu'au crépuscule,
Acceptez cela comme un second souffle, une renaissance de la vie contre la mort,
Nous sommes peut être vaincus, l'extinction est à nos portes mais qu'ils prennent garde,
Le dernier jour est bientôt là, le tout dernier et nous partirons dès l'aube, la foudre divine en nous,
Nous élèverons nos mains et nos corps vers les cieux, vers les étoiles nous irons, l'univers en témoin,
  
Gloire aux Vaincus !!! 

Nous devons nous battre pour préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs.
Nous devons nous battre car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre.

vendredi 20 avril 2012

L'Aube Macabre


Je te sert dans mes bras, tu trembles, de peur, de froid... la neige recouvre tout de son blanc manteau... Autrefois, cela aurai produit des rires de joie et un sourire sur chaque visage d'enfants blancs... Mais aujourd'hui, le froid nous traque, la peur nous harcèle et le désespoir nous hante... C'est enlacé l'un à l'autre que nous regardons le soleil s'évanouir au loin... notre étendard nous reviendra... La nuit s'annonce longue, froide et lugubre, elle est l'héraut sinistre de la fin des temps, endormons nous...

Lorsque l'aube survint, crieur d'un jour nouveau , tu dors encore paisiblement dans mes bras mais il nous faut partir... Ton corps si chaud est devenu froid... les larmes coulent le long de mes joues, je veux te réveiller, je le veux... Je veux revoir tes doux yeux émeraudes, je veux encore gouter à la chaleur réconfortante de tes lèvres... Je veux pouvoir m'enfuir à nouveau dans tes longs cheveux auburns... je veux ressentir une dernière fois la douceur de ta peau contre la mienne...mais tu restes inerte à mes suppliques...

Valkyrie, accompagnes moi, hurles et fais éclater ta joie, ta haine, j'ai soif de sang, soif de tuer,
Cette furie, mon amour, nous consumera tout les deux, le feu aryen doit devenir brasier,
La léthargie embrasse mon corps mais mon âme s'enflamme, un vent nouveau s'est levé,
Je fleuris ta dernière demeure, l'autel où repose ma déesse, temple de mon amour-né,
Ma guerrière, ma valkyrie, tu es à moi pour toujours. Pour toujours… et à jamais.

Le vent me murmure la parole des Dieux et toi, ma vie, tu me susurres, "l'hiver est là",
Je plongerai ce monde dans les flammes, j'enverrai ces êtres immondes dans l'au-delà,
Désormais, il n'y à que guerre, désormais, je ne suis que guerre, mon étendard et ma foi,
Il brille et m'éclaire, montre l'écharpe de ma belle, l'oriflamme de ma reine pour son roi,
Ces rayons me transpercent, debout, les bras tendus vers les cieux, je crie, "êtes vous là?",

Je leur ferai ployer genoux à terre, je leur prendrai tout et ne leur donnerai rien...
La guerre arrive, j'arrive et avec nous, vengeance, gloire et atrocité, la mort de paille sera leur destin,
J'ai donné mon âme à mes Dieux, je suis un soldat de ceux qui sont déjà morts, les Héros aryens,
Le monde et ses traîtres me blâmeront mais je resterai fidèle, avec honneur jusqu'à la fin,
Dans la mort, je retrouverai ma vie, aux yeux d'émeraudes et aux cheveux auburns, merci Odin,
  
La vie n'est que guerre, acceptez le ! 

Nous devons nous battre pour préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs.
Nous devons nous battre car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre.

vendredi 6 avril 2012

La Marche

 
Tout droit vers les portes de l'enfer, nous marcherons...
Nos terres en feu, notre peuple insoumis, nous marcherons...
Ecrivant dans le sable... flirtant avec l'immortalité, nous marcherons...
Dans la crainte, dans la douleur mais avec honneur,  nous marcherons...  
Ils n'aimeront pas l'odeur de la chasse prochaine, les rues maculés de sang, nous marcherons...
Os, chair et sang jusqu'au genoux, nous marcherons...
"Personne n'oubliera ... n'oubliera ces jours-là"  lorsque nous marcherons...

Honneur, Devoir, Gloire, Combat, Victoire,
Tous prêts à mourir, nous marcherons !!!

Nous sommes de la race des créateurs, des bâtisseurs et des faiseurs de contes,
Il est temps que le Soleil Aryen, avec chaleur et douceur culmine à nouveau sur ce monde,
Nous sommes de la race des chevaliers, notre honneur s'appelle fidélité,
Il est temps que parlent l'acier et notre fureur leur sera méritée,

Nous sommes les Marteaux Divins, ni la force, ni l'argent, ni le pouvoir ne nous arrêtera,
Face à leur guerre délétère, nous restons fière car l'aube arrive et avec qu'elle, notre étendard,
Nous sommes les invaincus, leurs doigts se raidissent d'épouvante à la vue de nos ombres,
Face à leurs ténèbres , nous leur présenterons notre Lumière et plus rien ne sera sombre,

Nous sommes devenu des loups, nous venons récupérer nos terres par le prix du sang,
Avant que nous nous élevions au Walhalla, nous aurons pétrifié leurs âmes par nos hurlements,
Nous sommes devenu le feu qui ravage, l'empire de la honte sera ensemencé de nos brasiers,
Avant que le crépuscule n'arrive, la mort aura emporté légions d'âmes et ils se mettront à prier,

Nous sommes ceux qui regardons, en laissant le Soleil Invaincu tomber dans l'océan,
Car chacun sait, que la nuit précède au jour et le jour à la nuit, depuis la nuit des temps,
Nous sommes ceux qui jugeons, en laissant la terre se faire dévorer par les flammes,
Car chacun sait, que ce qui est mort ne peut mourir, alors ils sauront, au fond de leur âme,

Qui sont les Hommes du Nord,

Nous devons nous battre pour préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs.
Nous devons nous battre car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre.

lundi 2 avril 2012

Le réveil des Hommes du Nord

L'équilibre est fragile, au fond de l'abîme, on aperçoit une lueur noire, assit sur son trône, il dort, la nuit est longue, un vent glacial s'abat sur la ville,
Ils sont là, ils attendent, ils guettent, de grands seigneurs sont de retour, le jour se lève puis plus rien, le néant, un silence insupportable,
Injustice est là, à ses cotés Trahison, ses mains sont pleines de sang... son regard est vide... elle contemple le chaos...


Tu murmures des paroles,
Abjures qui s'envolent,
Tu perds toute raison,
Désormais règne la confusion.

Tu erres dans les champs froids,
L'autre monde te veut loin de moi,
Déroutes ton chemin tel un chevalier déchu,
Ta foi te donnera la vision du salut.

La mort te chante sa satire,
Et avec sourire te demande de défaillir,
Son hymne parjurant sans pitié,
Te fais déposé épées et boucliers.

Son chant mélancolique,
Douceur hypnotique,
Chante à tes dépends,
Te laissant agonisant.

Ton âme saigne,
Des larmes de haine,
Mais je chante à ton corps meurtri,
Le chant de la vie.

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Alors relèves toi,
Douleur et Souffrance comme amantes,
Au delà du sommeil,
S'élève la dormeuse de Dante,

De ta cuirasse fracassée,
Porteuse d'un tragique destin,
D'une âme brisée et terrifiée,
Tu suivra l'ensanglanté chemin,

Tu reprendra foi en tes Dieux,
Et sera la colère du Nord,
Tu lèvera ton regard vers les cieux,
Et marchera vers ton sort, ta mort,

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Alors sois sans peur et sans reproche,
Lorsqu'elle viendra t'inviter,
Au huitième son de cloche,
 A ton dernier diner,

 Alors sois sans regret,
L'heure est à la joute,
Tels Montaigu contre Capulet,
Plus aucune place pour le doute,

Alors brandis l'étendard de guerre,
Car voilà que va s'abattre la fureur blanche,
Et que gronde le tonnerre,
Quand viendra l'heure de la revanche
 
Des derniers hommes du Nord

Nous devons nous battre pour préserver l'existence de notre peuple et l'avenir des enfants blancs.
Nous devons nous battre car la beauté de la femme aryenne blanche ne doit pas disparaître de la terre.